Au XVIIIe siècle, les idées des Lumières s’imposent et certaines sont adoptées par les membres de la bonne société lausannoise, influençant leur vie en société et leur approche de la mort en particulier. Celle-ci est omniprésente depuis la mortalité infantile jusqu’aux décès prématurés. Entre superstition, raison et science, une lecture des tableaux et des objets du Musée historique Lausanne permet d’aborder ce sujet délicat.