Réal. Lucio Fulci, IT, 1980, Coul., 92’, vo st fr, 16/16
Dans la cité imaginaire américaine de Dunwich, le suicide d’un prêtre ouvre les portes de l’enfer. Il ne sera pas possible de les refermer. Ce film désespéré, lugubre et sordide constitue un fleuron du gore italien. Le monde de Lucio Fulci est traversé de fantasmes, d’angoisses primales, de cris et de sang. S’il est bien le monde de la peur, il correspond surtout à celui de la libération et de l’explosion des interdits.
La projection est suivie d’un débat.