Au XVe siècle, autorités et habitants du Valais partagent une peur nouvelle. Parmi les voisins se dissimuleraient des gens au pouvoir maléfique. Désignés comme sorciers, ils nuiraient aux hommes, aux bêtes et à la nature. La construction d’une peur réelle, mais fondée sur un pouvoir imaginaire attribué à ceux que l’on diffame et dénonce à cause de malheurs, rancunes, jalousies, rivalités, etc. mène des hommes et des femmes sur le bûcher ou les pousse à fuir.
Intervenant·e·s